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part . du gouvernement d'opérations qui . leur ôteront la plus grande .partie'de-leur existence, ils ont des enfants, .le premier dé.tous les devoirs les contraindra à gémir infructueusement sur' Ie'.sort de leur père. Et encore une fois c'est pour eviter lesdésordres et les malheurs qui.vont suivre d'une saisie réelle quion a proposé un parti qui aurait dû être pris il y à lorigtemps.On le dit avec peine, mais c'est le comble de la déraison dans la situation où il est de s'affecter de ce parti •.comme il le fait et rien ne .prouve mieux combien peu-l'on doit compter sur dui. Quoi !il aime mieux laisser •vendre le peu d'effets .qui lui restent, aller en'pri-son, faire un éclat ruineux pour ses enfants, laisser son fils sans dot, obliger la vicomtesse de Belsunce à rapporter la sienne à sa succession, voir dépérir tous les jours lès effets substitués que de subir à l'amiable une forme.qui n'est rien, ayant depuis dix-huit mois un conseil ! Voilà les objets qui doivent le faire mourir de douleur et hon ce qu'on veut faire pour réparer, autant qu'il est possible, la suite de trente ans de mauvaise-administration. « M. le Lieutenant civil est touché avec raison de l'état de M. d'Epinay ; mais s'il voyait sa femme
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